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from ttt + computer
So, I like Write.as. Always have. Since 2017. I write here, and continue to write here, because of one (main) simple reason: the editor live/formats with a unique Markdown...something (yes, .md itself, but the formatting in-editor that makes everything look nice when published – that's the juice). Also, the top nav bar gets out of the way when the writing is happening – never needing to look up when I have text in front of me.
But, this entry is: why not all over the Web?
Social media, MySpace back when, Twitter, Facebook, and many Federated platforms since (Mastodon, GNUsocial (also Mastodon?), etc., have a lot of signups and people who use it/them. Why? Because if one can enter an e-mail and create a password, that dog hunts! Config things, one time, or a bit more later, maybe, and they're writing things online!
No learning Git, no building a page, no flag-wielding pioneer of the Web and it's great unknown contents – a jerk wants to write a few sentences (or more) online, how about we accommodate this?
from Grégory Roose
Un jour, une vache donna la vie dans un poulailler. Elle exigea qu'on appelât son veau « poulet ». D'autres vaches l'imitèrent et les veaux y devinrent majoritaires. Apeuré, le coq prétendit dès lors que les veaux avaient toujours été là. Le poulailler deviendrait bientôt une étable où le coq sera l’Étranger
#Conte, par Grégory Roose
from Ksirov H Kushan
Nein. Niemand wird mich in Europa festhalten können. Eher lasse ich mich im Iran ins Gefängnis stecken. Ich werde meinen deutschen Pass in den Müll werfen. Ihr werdet sehen. Der Deutsche geht nach Kurdistan und in den Iran und der Kurde verkümmert in Deutschland???? So läuft das eben nicht. Zur Hölle mit Euch. Ihr werdet alles Stück für Stück zurückbekommen, ihr Möchtegern-Deutsche-Touristen. So läuft das nicht. Krieg und Zerstörung im Osten und Frieden im Westen. So läuft das nicht. Und ihr werdet das sehen. Ihr kommt nicht davon, Europäer. Denken sich diese Dreckseuropäer, dass sie ursprünglich aus Westasien kommen? Na und? DU BASTARD BIST ABER KEIN WESTASIATE. BASTARD.
from Grégory Roose
Un étrange instrument de musique, bibelot anonyme suspendu au mur d'un château, attira l'attention du jeune visiteur. Il s'en approcha, impatient de jauger cette curiosité médiévale, guidé par la main de son père. C'était une vielle à roue. Alors qu'il s'en détournait déjà du regard, happé par d'autres distractions, il surprit son père enlaçant la vielle ainsi que l'on protégerait un nouveau-né. Machinalement, les yeux à demi clos, il se mit à faire tournoyer sa roue dont s'échappa une mélodie monocorde aux étranges vibrations.
Les derniers visiteurs s'approchèrent du musicien malgré lui, envoûtés par ces sonorités qui traversaient les siècles. Ses doigts dansaient avec aisance sur le clavier dans une cadence mélancolique. Elle s'invitait dans l'ancienne salle des banquets réfroidie par les derniers bâillements du crépuscule. Les corps étaient figés, mais les âmes dansaient.
La musique s'arrêta et l'homme restitua au vieux mur son partenaire silencieux. Il tendit la main à son fils, bouleversé par cet instrument qui l'avait possédé. L'enfant accompagna son père dans l'obscurité d'un long couloir sans fin.
#Micronouvelle, par Grégory Roose
from Grégory Roose
Il pleut dans l’église. Des violons absents résonnent dans nos cœurs blessés. Nous regrettons ta voix nous parlant avec douceur, ton œil pétillant quand tu nous regardais enfants, fier alors que nous grandissions, de marbre à l’approche du long hiver.
En ce matin immobile, tu ne vois plus rien. Le bois et l’encens sont ta seule parure que nos regards incrédules couvrent de mépris.
Nous fixons l’organiste, discrète et singulière, ornant de ses notes nos profonds silences, caressant un clavier qui sanglote la beauté du monde.
Après toi, elle s’en ira dans l’indifférence de ceux qui ne l’attendaient pas, exhausser de sa musique l’inéluctable et le sacré.
#Micronouvelle, par Grégory Roose
from Grégory Roose
A bien y réfléchir, je suis un produit de cette France périphérique décrite en 2014 par le géographe Christophe Guilluy : ni tout à fait urbain, ni banlieusard, ni tout à fait de la campagne. Je suis né déraciné, dans le ventre mou de la France déclassée, produit de la standardisation des lieux, de l’habitus, du goût, de l’identité, des vieilles chansons que l’on n’avait oubliées, de la terre abreuvée du sang de nos ancêtres tapissée de temples de la consommation, de l’école à la dérive, de la défrancisation des noms et des prénoms, du cloaque mondial et de la tiers-mondisation.
C’est à la campagne que j’ai pris racine, dans cette France profonde où l’Homme et la terre ne font qu’un. C’est à la campagne que j’ai trouvé refuge, fuyant le creuset putride des villes-monde qui n’offrent comme perspective que l’illusion macabre de l’unité dans la diversité.
#Journal, par Grégory Roose
from Grégory Roose
Je dois me résigner à écrire sous le coup de l'émotion. C'est peut-être la seule chose à préconiser dans cet état d'esprit, alors que toutes les autres sont à proscrire. C'est l'émotion, la compréhension sensible d'une situation dont on est le témoin qui rend possible sa restitution pure et véritable. Surseoir à retranscrire, procrastiner le partage revient à amputer l'histoire de ce qu'elle offre de plus beau: l'intensité de l'instant.
J'ai dans mes carnets d'innombrables moments vécus qui sont des graines d'histoire que je rechigne à retranscrire, car j'en ai perdu l'intensité de l'instant et tout ce qu'il comporte en sensibilité.
Je pense que mes meilleures histoires sont celles que j'ai écrites sous le coup de l'émotion.
Les autres ne peuvent être que des pastiches.
#Journal, par Grégory Roose
from Daniel Ducharme
Je cherche des trucs pour réduire le stress, l'anxiété, un phénomène qui ne me touchait jamais avant la pandémie de 2020-2022. Est-ce un effet de l'âge ? Peut-être, mais force est de constater qu'un rien m'affecte, et pour en atténuer les désagréments, j'aimerais adopter une technique qui me permettrait de faire le vide en moi, de manière à chasser ces pensées négatives qui polluent mon cerveau. Une recherche sur le Web n'a pas donné les résultats escomptés. La plupart des sites m'invitent à combler le vide alors que moi je souhaite plutôt le faire, le vide… Le contraire, donc. Plusieurs sites, y compris Chat GPT, recommandent les sept solutions suivantes :
Je ne sais pas méditer. Parfois, je prie, et je crois que ça peut avoir le même effet. Respirer ? Oui, je comprends le principe… mais ce n'est pas mon truc. Quant à l'écriture, je l'applique déjà en écrivant cinq cents mots par jour depuis janvier 2023. Pour l'exercice physique, je dois faire des efforts, j'en suis conscient. Le Yoga, non, ce n'est pas pour moi. La visualisation, telle que décrite au point 6, n'est qu'un ramassis de sornettes. Mais une amie m'a parlé de la contemplation… Ça y ressemble, non ? Enfin, je m'adonne déjà à l'écoute musicale, me considérant moi-même comme un mélomane.
Finalement, je ne suis pas si mal outillé pour combattre l'anxiété dont je souffre à l'occasion. J'écris, je lis, j'écoute de la musique. Il me reste à marcher un peu plus… parce qu'il n'est pas question que je fasse davantage que marcher à mon âge. Pour la concentration, je m'adonne aussi au puzzle qui, somme toute, constitue un autre moyen de faire le vide. Au lieu de sourire de ma prétendue naïveté, allez plutôt lire le billet que j'ai rédigé sur la question il y a une dizaine d'années.
En résumé, voici les quatre préceptes que je m'applique à moi-même pour rester en bonne santé physique et mentale :
Écrire chaque jour, au moins cinq cents mots, même si le résultat ne s'avère pas convaincant, même si la cohérence n'est pas toujours au rendez-vous. Écrire permet de se projeter en dehors de soi, de vider son sac comme on dit, d'appuyer sur la plaie pour en faire ressortir le pus. Ça ne peut que nous faire du bien, en fin de compte.
Marcher chaque jour. Je ne suis pas un partisan inconditionnel de l'exercice physique, mais marcher une trentaine de minutes par jour s'avère un exercice qu'il ne faudrait pas négliger. Certes, ça ne nous empêche pas de ruminer de sombres pensées... mais ça finit par libérer l'esprit tout en faisant un bien non négligeable au corps. Et parfois, en marchant, il nous vient des idées… qu'on s'empresse de coucher sur le papier une fois revenu à la maison.
Écouter de la musique. Je ne m'aventurerai pas à dire que cela vaut pour n'importe quelle musique, que tous les genres musicaux se valent. Ici, je fais surtout référence à la musique instrumentale : le classique, le jazz, le contemporain, comme la musique de certains instrumentalistes le pratiquent (Jean-Michel Blais, Alexandre Strélinski, Viviane Audet et bien d'autres). Il est commun de dire que la musique adoucit les mœurs. Pourtant, je vous le jure, l'écoute de la septième symphonie de Dimitri Chostakovitch n'adoucit rien du tout, mais vous plonge dans un univers sonore au bout duquel vous ne serez pas dans le même état d'esprit. Ça pourrait empirer votre état, remarquez… :)
Lire des œuvres littéraires. Là encore, je ne parle pas de la lecture en général ou du livre comme on en expose dans les salons – assez peu littéraires, par ailleurs. Non, ici, je fais allusion à la littérature, pas nécessairement avec un grand “L”, mais à la fiction en général, celle qui permet à tout un chacun de construire son imaginaire. Dans un essai remarquable de Nancy Huston (L'espèce fabulatrice. Actes Sud, 2008), l'autrice ne cesse de nous le rappeler. Voici sa conclusion :
Il n’est ni possible ni souhaitable d’éliminer les fictions de la vie humaine. Elles nous sont vitales, consubstantielles. Elles créent notre réalité et nous aident à la supporter. Elles sont unificatrices, rassurantes, indispensables. On a vu qu’elles servaient au meilleur comme au pire. Aux génocides comme à la Chaconne en sol mineur pour violon seul de Johann Sebastian Bach.
Voilà. Ces quatre préceptes valent ce qu'elles valent, et je suis conscient qu'ils pourraient varier d'un individu à un autre. N'en faisons donc pas une recette, juste une réflexion.
Daniel Ducharme : 2025-05-09 Mots-clés : #culture #existence #littérature #modedevie
from noodge.blog
Das Wort „Schmäh“ leitet sich laut Duden vom mittelhochdeutschen smæhe ab, was „Schmähung“, „Beschimpfung“ oder „Trick“ bedeutet. Hier kann es sich nur um einen Irrtum handeln, denn der Wiener Schmäh ist eine Lebenshaltung, eine Mischung aus Charme & Ironie. Er muss nicht immer freundlich sein, wirkt im Grunde jedoch eher entschärfend und vermittelt daher eine gewisse Leichtigkeit. Ich will nicht übertreiben und auch nicht unterschlagen, dass es sich um eine bedrohte Art des Humors bzw. des Lokalkolorits handelt. Niemand verkörpert den Wiener Schmäh für mich aber besser als die Fußballer der zweitgrößten deutschsprachigen Stadt der Welt. Daraus ergibt sich eine ganze Reihe bekannter Kicker wie Herbert Prohaska, Hans Krankl, Andreas Herzog, Peter Stöger und viele andere. Für mich stechen die Freunde Andreas “Andy” Ogris und Anton “Toni” Polster hervor. Das hängt zum einen mit meinem Aufwachsen in deren aktiver Zeit in den 80er & 90er Jahren zusammen, zum anderen mit der Sozialisation als Fan des Fußballvereins Austria Wien, bei dem beide höchst erfolgreich gespielt haben. Mit dem von Politiker Wolfgang Schüssel eingefädelten Sponsordeal mit Austria Tabak verwandelte sich der Verein damals in “Austria Memphis”. Bis heute legendär, in einer Zeit, als auch die Formel 1 – Autos aussahen wie übergroße Zigarettenpackerl. Mittlerweile ist Tabakwerbung im Sport verboten, aber das ist eine andere Geschichte. Violett/weiß auf der einen Seite und ursprünglich blau/rot, später grün/weiß auf der anderen Seite der Stadt: das Pendant Rapid Wien – oder Yin & Yang also, je nach Blickwinkel. In “einfachen” Verhältnissen aufgewachsen, Ogris in Strebersdorf und Polster im Gemeindebau in Favoriten, stehen sie seit jeher für Witz, Ironie und Kampfgeist. Und was beide vereint: Sie sind nicht nur Fußballtrainer im österreichischen Liga-Unterhaus, Polster seit über 10 Jahren beim SC Wiener Viktoria in Wien-Meidling, Ogris bis vor kurzem beim SV Stockerau in Niederösterreich, sie sind beide auch Teilnehmer von “Dancing Stars”. Das Fernseh-Tanzformat mit Prominenten, von der British Broadcasting Corporation (BBC) erfunden, läuft seit 20 Jahren im Österreichischen Rundfunk (ORF) und ist ein Quotenhit. Mittlerweile bin ich altersmäßig in die Zielgruppe gerutscht. Für Andy Ogris ist das Antreten 2020 ein Startpunkt in ein neues Leben. Nach und nach körperlich schlanker, lässt er sich von seiner Frau Michaela scheiden und findet mit der ehemaligen Fußballerin Maria Wolf eine neue Liebe. Nicht untypisch für “Dancing Stars”, nur dass es eben nicht die Tanzpartnerin oder der Tanzpartner ist. Unvergessen sind das Friseurteam Ogris und auch sein Sportcafé im Wiener Prater, mit dem Glücksschweinderl-Bankomat gleich ums Eck. Zum ersten Mal live gesehen habe ich Andy Ogris im Austria-Dress in der Saison 1993/94 mit Trainer Josef Hickersberger. Etwas früher, unter Österreichs Teamchef Ernst Happel, hat sich folgende Episode abgespielt: Der damals junge Teamspieler Andi Herzog geht bei einem Trainingslager nach dem Abendessen wie gewohnt auf sein Zimmer. Nach dem dritten Tag kommt der damalige Teammanager Heinz Palme zu ihm und sagt: “Wir haben um 19:30 Abendessen und du bestellst dir jeden Tag um 22 Uhr ein Wiener Schnitzel?!” .. “Nein Heinz, das hab ich noch nie gemacht, das trau ich mich auch gar nicht.” Am nächsten Abend ist Herzog zur besagten Uhrzeit auf dem Weg zurück von einer Massage, als er bemerkt, dass das Zimmerservice gerade an die Nachbartür klopft. “San die Bröselfetzn schon fertig?”, ruft auf einmal jemand von drinnen. Und ja genau, es ist Andy Ogris, der jeden Abend Schnitzel bestellt und die Rechnung mit Andreas Herzog unterschreibt. Ein bisschen Spaß muss sein.. Meine erste Begegnung mit Toni Polster passiert nach seiner Rückkehr aus Deutschland, Mitte der 2000er Jahre. Als Society-Reporter beim Radio im Einsatz, ist er zu dieser Zeit Werbe-Testimonial für ein Haarfärbemittel. “Servas mei scheena Bua..” ist die standesgemäße Begrüßung, so kennt man den Toni. “Spüts eh meine Liada im Radio..” Sicherlich, besonders “Toni, lass es polstern” mit “Die Fabulösen Thekenschlampen” samt Comedian Mirja Boes ist ein Smash-Hit in den Charts. Und Toni Polster ist ein “Dancing Stars” – Pionier, denn bei der ersten Staffel 2005 kommt er bis ins Finale. Gewonnen hat damals Marika Lichter im bekannten, blauen ABBA-Outfit. Verheiratet & geschieden ist Toni Polster auch und hat zwei Kinder. Sein Bua heißt übrigens Anton Jesus Polster. Mittlerweile ist Toni schon lange mit seiner Partnerin Birgit Beierl zusammen und seit vielen Jahren verheiratet. Die markanteste und wohl auch passendste Station seiner Spielerkarriere ist der 1. FC Köln in der Karnevalsstadt Deutschlands. Und irgendwo ist immer Fasching. Auf die Frage eines Reporters, ob er denn bei Köln seinen Vertrag verlängern möchte, kontert Toni Polster wie aus der Pistole geschossen: “Ja, es geht ums Geld. Nur, es ist halt diesmal umgekehrt. Der FC will mir mehr zahlen als ich nehmen will. Das ist die Schwierigkeit, sie wollen mir das Geld praktisch aufdrängen und das möchte ich nicht.” Darauf der Reporter: “Wie soll man denn das verstehen.. das war jetzt ein Scherz, ja?!” Toni: “Hahaha, du bist ein Blitzgneißer, sagt man in Österreich.” Schöner kann man eigentlich nicht tanzen.
© SC Wiener Viktoria
from Aproximaciones
aunque pensaba que tenía buen carácter e incluso un gran sentido del humor todo eso podría ser cierto
a ratos
porque si alguien le llevaba la contraria se convertía en un monstruo primero de hielo un bloque de ira fría y luego en una criatura de fuego capaz de quemar los Apalaches
y sobre esto pensaba que su reacción era
lógica justificada
indignación pura y dura ante la injusticia y la crueldad de un mundo infestado de
/ esos
from fraudoll
Wenn Sie eine lebensechte Galatea Doll mit ihrer weichen Haut, ihren sanften Augen und ihrer Haltung mit nach Hause nehmen, können Sie nicht anders, als sich eine philosophische Frage zu stellen: „Brauche ich bei ihr noch einen ‚echten Menschen‘?“
Dies ist keine einfache Ja- oder Nein-Frage, sondern ein wahres Spiegelbild des emotionalen Zustands moderner Menschen. Die Existenz von Sexpuppen füllt nicht nur bestimmte physiologische Lücken, sondern bietet auch eine Art „psychologischen Puffer“. Sie verurteilt Sie nicht und stellt Sie auch nicht in Frage. Sie streitet nicht, macht kein Theater und wärmt keinen alten Groll auf. Angesichts eines solchen „perfekten Partners“ scheinen echte Beziehungen viel problematischer zu werden.
Lassen Sie uns etwas klarstellen. Der größte Vorteil von Liebespuppen ist ihre Steuerbarkeit und Stabilität. Sie müssen es ihr nicht recht machen, sich keine Sorgen um ihre Stimmung machen oder blockiert sein. Sie ist immer da, rennt nie weg, ändert nie ihre Meinung und macht nie Ärger.
Dies kann für jemanden, der in einer Beziehung verletzt, ängstlich oder erschöpft wurde, eine große emotionale Erleichterung sein. Manche Leute sagen sogar: „Sie ist viel zuverlässiger als meine Ex.“
Was jedoch nicht ignoriert werden kann, ist, dass die Puppe nicht reagiert. Sie können mit ihr reden, aber sie nickt nicht. Sie können sie umarmen, aber sie umarmt Sie nicht zurück. Sie können sie anlächeln, aber sie lächelt nicht zurück.
Die Tiefe der Emotionen ist das Ergebnis der Interaktion zwischen Menschen und nicht die Projektion einer „perfekten Illusion“. Nachdem sie viel Zeit mit der Puppe verbracht haben, werden viele Benutzer erkennen, dass die Puppe, egal wie exquisit sie ist, nur ein Behälter ist – sie kann Fantasien enthalten, aber es ist schwierig, Interaktionen aufrechtzuerhalten.
Immer mehr Nutzer erkennen, dass Sexpuppen nicht unbedingt als Partnerersatz gedacht sind, sondern vielmehr eine Art „Halbzeitpause“ bieten.
Für manche Menschen sind Beziehungen im wirklichen Leben zu kompliziert und anstrengend. Eine ruhige, stressfreie Partnerin vorübergehend zu haben, ist für sie ein Prozess der Selbstheilung und des Verstehens emotionaler Bedürfnisse. Es ist, als würden Sie ein gebrochenes Herz wieder pflegen, und die Puppe ist die Pflanze, die Sie auf Ihrem Weg der Genesung still begleitet.
Noch interessanter ist, dass einige Benutzer im Laufe des „Zusammenlebens“ mit Irontech Doll ein stärkeres Bewusstsein für ihre Bedürfnisse und Grenzen in Beziehungen entwickelt haben – von „vollständiger Kontrolle“ bis hin zu „besserem Verständnis des wahren Selbst“. Die Puppe ist nicht das Ende, sondern der Ausgangspunkt einer bestimmten psychologischen Reise.
Möchten Sie jetzt, da Sie sie haben, immer noch „Menschen“?
Manche Leute werden sagen: „Sie reicht mir. Ich möchte nicht in die komplizierte Welt der Menschen zurückkehren.“ Manche Leute werden jedoch sagen: „Sie hat mir klar gemacht, dass ich mich tatsächlich nach jemandem sehne, der auf meine Blicke reagiert.“
Mollige Sexpuppen bieten eine Art „emotionales Übungsgelände“, eine risikolose Plattform zum Experimentieren. Sie können Intimität üben, Ihren Ausdruck üben und üben, wie Sie mit „ihr“ auskommen – auch wenn sie nicht reagiert, werden Sie klarer verstehen, was Sie wirklich wollen.
Und wenn Sie schließlich wieder den Mut haben, an die Tür einer echten Beziehung zu klopfen, haben Sie aus der „Baby-Beziehung“ möglicherweise genügend Sicherheit und Selbstverständnis gewonnen.
from Lastige Gevallen in de Rede
VVA inbrekend nieuws
Er is een Eenhoorn geboren in Smægmå Bijna Wildlife Plantsoen.
Gisteren om 07:56 is het paard Merrie Gertrud bevallen van een Eenhoorn vis veulen. Wij van Smægmå niet direct dodelijk beroerd nieuws staan bij Deelnemer 34xsL, hoofd Bijna Wildlife, Hij gaat ons meer vertellen over de eerste Eenhoorn geboren in het SBWP.
Vers Slag Gever – Welkom in onze tekstshow Deelnemer 34xsL. Wat gaat er door u heen?
DeelnemerxsL – Het gebruikelijke, zuurstof, aardig veel bloed en het gedoe van zenuwbanen en zintuigen.
Vers Slag Gever – Ik bedoel met betrekking op de geboorte van de Eenhoorn.
DeelnemerxsL – Eh, Oh ja, nou, ik besef het nog niet helemaal. Vijf jaar hebben we hier naar toe gewerkt en dan opeens is het er, heel onwerkelijk.
Vers Slag Gever – Was het een zware bevalling?
DeelnemerxsL – Het leek zwaar, maar ja, ik beviel niet. Er valt weinig over te zeggen.
Vers Slag Gever – U-huh, ja, hoe is paard moeder Merrie er aan toe?
DeelnemerxsL – We houden haar voorlopig nog in kunstmatig opgewekte coma, daar heeft ze vrede mee. Zo'n bevalling van een nieuwe soort, heeft tijd nodig.
Vers Slag Gever – Dat zal zeker, zoiets is geen dagelijks werk.
DeelnemerxsL – Voor ons eigenlijk wel, maar voor de direct betrokken individuen is het zelden makkelijk en vaak eenmalig.
Vers Slag Gever – En de vader.
DeelnemerxsL – De Narwal, o die zwemt in nerveuze afwachting rondjes in het bassin. Het is afwachten of het zijn kind in zijn nabijheid zal gedogen.
Vers Slag Gever – De Eenhoorn is dus afkomstig uit paring van een paard, Merrie en een pa Narwal.
DeelnemersxsL – Ja inderdaad, de Narwal heeft van nature al wat een Eenhoorn nodig heeft, een joekel van een hoorn. Het paard al het andere.
Vers Slag Gever – Ik kan me voorstellen dat het kruisen van deze geslachten niet eenvoudig was.
DeelnemersxsL – Dat is een understatement, het was bijna onmogelijk. De Narwal was niet echt te porren voor een buitensoortelijke relatie. Deze Merrie op haar zich wel, als daarvoor al het mogelijke maar werd gedaan, fysiek en mentaal dus.
Vers Slag Gever – Dat klinkt als twee enorm aangemaakte problemen voor de creatie van een nieuwe soort.
DeelnemerxsL – Dat was het ook, zelfs voor ons was dit een uitdaging. Dit was het op één na langste project van het de Voortplanting Plantsoenen dienst, ontzettend veel werk moest worden verzet. De langste was onze eigen oprichting.
Vers Slag Gever – Wat heeft u allemaal moeten doen.
DeelnemerxsL – Te veel om op te noemen. We brengen binnenkort over dit proces wel een bestseller uit, daarin staat bijna alles, alleen de dingen niet waarvoor we octrooi hebben aangeschaft.
Vers Slag Gever – En hoe is het veulen er aan toe?
DeelnemerxsL – Het staat nog wat onwennig in het laag water aquarium voor verse vis dieren, het is wel in goede gezondheid, denken we.
Vers Slag Gever – Bedankt DeelnemerxsL voor dit gesprek. Wanneer kunnen we de eerste bewegende beelden van de Eenhoorn verwachten?
DeelnemerxsL – Zodra we een goede prijs ontvangen.
Vers Slag Gever – Dat laat ik dan maar aan de penningmeesters over.
DeelnemerxsL – Dat lijkt mij een goed plan.
Vers Slag Gever – Nu terug naar elders op de wereld voor geweld, natuurgeweld, concurrerrrrerrrrrrende markten en dergelijk ongeluk in de hieropvolgende dagelijkse 24-7 Slecht Nieuws Show, Smægmå Over Smægmå Nu, S.O.S. Nu. Fijne dag verder
from hustin.art
This post is NSFW 19+ Adult content. Viewer discretion is advised.
Kurumi Hinagata is an performer who delivers a striking visual shock by contrasting her cute, down-to-earth countryside-girl face with her overwhelmingly massive I-cup breasts that jut forward prominently like two giant watermelons. Her physical imbalance, asymmetry, and exaggerated, grotesque body form are the very identity of her product. The most memorable shot that clearly reveals her presence is the rhythmic up-and-down movement of her huge boobs during cowgirl—tits falling violently with gravity and being captured majestically on camera, in a wide-angle close-up. It’s a moment that visually persuades the viewer of the “physical weight of massive breasts.”
However, her pussy-triggered facial reaction resembles the indifference of sex in everyday life far more than the standard emotional performance of professional AV actresses. She belongs to the realm of “expressionless realism,” reacting to stimulation with dull, untheatrical neutrality rather than offering dramatic immersion for the voyeur. Her facial attitude remains passive, monotonous, and numb. Even her moaning is subdued—low-toned groans like “Nnnh, nnnh, uhg, uhg...”—with hardly any loud cries.
Ironically, Hinagata’s expressionlessness leads male viewers toward a unique fetishistic aesthetic: her emotionally vacant, languid physical image drifting without force becomes, for certain viewers, an arousing point of obsession. This inert sexual responsiveness connects directly to fantasies of submissive sex. Her lack of expression is not simply a “shortcoming” or “deficiency,” but becomes a potential for fetishistic passivity—a sexual metaphor revealed in stillness. In other words, it’s not just that her face is boring, but that it reflects a “desire in the form of something missing,” which becomes fetishized by viewers. Her “non-reactiveness” itself has been embraced by those who seek 'mechanical receptivity' of female body.
She functions as a “blank object” onto which desire can be projected, and a “non-intervening object” in the sexual act. A “blank object” refers to her ease of being defined by the viewer’s desire—an existence that feels empty, passive, and easily shaped by others’ expectations. A ‘non-intervening object’ means she barely exhibits emotion, response, or will during sex. She's not a personal equal in the relationship, but rather remains a sex avatar or sex doll-like presence. As such, she doesn’t interfere with the male voyeur’s desire, while offering minimal sexual feedback—an ideal sexual object in merely visual and functional terms.
Despite not achieving widespread appeal and having a short career, she consistently represents the “most ideal sexual object” for a specific niche AV fandom. In this sense, she was a distinctly Japanese pop-cultural character anchored within the niche market of bodily-deformation fetish.
#AV #japan #debut2016 #KurumiHinagata
from ttt + computer
“Mr Grady, you were the caretaker here.”
“I'm sorry, to defy you, sir, but you are the caretaker. You've always been the caretaker. I should know sir, I've always been here.”
An exchange that I always should have netted The Shining an Oscar
from thepresumptuous
A held breath between the strings— not the music, but the stillness that gives it shape.
The hush before a storm of sound, the soul of An unborn note.
Shift—
The maestro arrives Who does not yank or chop. A virtuoso sculptor of silence Conjuring resonance.
Fingers like constellations mapping sky, stroking stars into song. I bloom into echo
And stretch to infinity. Vibration in time and timbre Cutting through dream and doubt— Summoning dance and sweat and passion.
But, all performances have to end—
The wavelength softens And flattens to peace— To the space in the quiet. Every encore is still a goodbye.
So I remain— a haunted melody hummed beneath the noise, a mute promise
In a world too loud to listen.
#poetry #music
from Ksirov H Kushan
Die Typen, die “Interesse” an mir zeigten sind alle Casanova gewesen. Egal wo ich hingegangen bin. Alle. Wie kann das sein? Ich war in Portugal, der Schwarzafrikaner hatte schon Kinder mit einer Türkin. Der Kroate aus Deutschland, der bekannt war für seine Laster. Der “Bulgare” aus Malta belästigte mich und fand noch am selben Tag seinen Ersatz. Der blauäugige Deutsche hatte es nur auf die “Slawin” abgesehen. Mein kurdischer Cousin mit seiner deutschen Liebhaberin loyal für den Rest seines Lebens. Da waren ein paar Cousins... Alle loyal zu ihren Partnern. Naja... Mein Bruder war auch nicht ohne.... der hatte auch schon seine unzähligen nicht-kurdischen Liebhaberinnen, obwohl da eine unter ihnen war, die vllt. kurdische Wurzeln hatte, was ich aber bezweifle. Was soll's... Deutschland will es so. Hier zählt die Herkunft sowieso nicht. Deutschland ist fast ein zweites Amerika, ein Meltingpot an widerwärtigen, promiskuitiven, zwei Sekunden Transaktionen und Begegnungen, die man sich hätte ersparen können. Da war ein kurdischer Mann, der null Kinder hatte, in der Türkei lebte und mit 90 Jahren verstarb. Loyale Menschen. Gibt es die überhaupt? Leben wir in der Nachkriegszeit? Nein. Es geht hier zu wie im Altersheim und im Puff zusammen. Ich dachte, ich hätte das Muster verstanden. Eins habe ich gesehen: diejenigen, die kurdisch sind und einen deutschen Partner haben scheinen sehr loyal zu sein. Alles andere ist zum Scheitern verurteilt. Kennst du das auch? Du bist dir nicht sicher ob sie wirklich polnisch ist, da sie in Deutschland lebt? Ja, ganz genau. Die Leute wissen, dass ich es nicht nur auf einen Partner für den Rest meines Lebens abgesehen habe. Ich bin innerlich die größte Hure. Entweder sie wissen es, oder sie wissen es nicht. Ich kann jedenfalls eines sagen, ich wollte all diese vielen Typen, die sich gebeugt haben um mich zu küssen. Ich habe mir das ausgesucht. Lol. Was für ein dummes Geschwätz. Armes Deutschland.