from Après la brume...

J’utilise actuellement un ensemble de scripts (baptisé Renplay, d’où le titre) qui me permet de pouvoir à la fois jouer en solo et consigner mes aventures sur Ren’Py, le logiciel qui permettent de créer des aventures visuelles et narratives. L’objectif est double, avoir l’application Ren’Py en guise de “notes” sur la partie, et évidemment, une fois la partie, si l’histoire est bonne, pouvoir la partager avec d’autres.

Je suis vraiment satisfait de cette combinaison, jusqu’à présent, je jouais en solo et je prenais beaucoup de notes. Grâce à l’innovation technique, je viens comme dans une vraie partie, je m’installe, je joue une session, et à la fin de la session, tout est consigné, je n’ai rien à faire. Les parties sont beaucoup plus intenses, d’autant que le rôle du MJ reste plus efficace à deux casquettes, même s’il est arbitré par un script.

Evidemment, j’aimerais pouvoir proposer une expérience aussi satisfaisante sur la page de jeu en solo sur #Brumisa3. Pour l’instant, ma vue d’ensemble dans le projet n’est pas claire, et avec d’autres travaux d’écriture, brumisa3 a dégringolé dans les priorités. Mais j’espère que la livraison physique de Legends In the Mist arrivera, et me motivera de fou pour me remettre dessus.

 
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from Patrimoine Médard bourgault

L’éducation artistique occupe une place centrale dans le Journal de Médard Bourgault. À travers ses réflexions sur la sculpture, la beauté et la jeunesse, il propose une véritable pédagogie : simple, exigeante, enracinée dans le Québec, et profondément tournée vers la transmission.

Ce texte rassemble — avec fidélité — les leçons qu’il adresse aux artistes, aux jeunes sculpteurs et à ceux qui veulent comprendre sa vision de l’art.


1. Former l’œil à distinguer le beau du laid

Médard explique qu’il a appris très tôt à reconnaître la beauté dans les formes :

« J’appris à différencier le beau du laid. »

Pour lui, l’éducation artistique commence avant la technique. Elle commence par un regard : un apprentissage du vrai, du noble, du sensible. Un sculpteur bien formé n’imite pas ce qui choque, ne suit pas les modes, ne se perd pas dans l’exagération : il cherche la beauté authentique.

Éduquer l’œil = éduquer la sensibilité

Pour Médard, le regard n’est pas seulement esthétique : c’est un jugement moral, un rapport au monde, un respect du sujet.


2. Rejeter les “figures laides” : un appel à la responsabilité

Médard critique certains artistes modernes qui déforment le sujet, surtout lorsqu’il est sacré :

« Ne pas s’inspirer, de grâce, à toutes ces laides figures qui sont d’art moderne. »

Ce n’est pas un rejet total du modernisme — il admire l’artiste Henri Charlier — mais une critique de ce qui dénature le visage humain et le prive de dignité.

L’éducation artistique, pour lui, doit préserver :

  • clarté des formes
  • respect du sujet
  • expression lisible
  • beauté intérieure

L’élève doit apprendre à ne pas confondre originalité et laideur.


3. Un apprentissage fondé sur la beauté et la vérité

Médard répète que la beauté est un devoir pour l’artiste. À propos du Christ, il écrit :

« Nous devons nous efforcer de faire de notre œuvre ce qu’il y a de plus beau. »

C’est un principe fondamental de son enseignement :

Faire beau = faire vrai

La beauté n’est pas un embellissement. Elle révèle la vérité du sujet, sa noblesse, son intériorité.

Pour lui, un jeune sculpteur doit apprendre :

  • l’observation attentive
  • la finesse du trait
  • la retenue
  • l’équilibre des proportions

4. Étudier la figure humaine : une école de rigueur

Médard décrit comment il observe :

  • posture
  • tension des muscles
  • inclinaison de la tête
  • expression du regard
  • présence intérieure

Il ne parle pas de dessin académique, mais d’un regard patient, d’une étude vivante du corps et du caractère.

Regarder avant de sculpter

C’est une règle implicite dans tout son journal : l’artiste doit d’abord comprendre avant de tailler.


5. Le rôle des matériaux dans l’éducation du sculpteur

Pour Médard, un bon sculpteur doit connaître les bois du pays. Il défend les essences québécoises contre les préjugés :

« Nos bois peuvent être employés en sculpture, pourvu que l’on sache choisir. »

Les bois locaux comme outil pédagogique

Médard recommande particulièrement :

  • le merisier rouge (son favori)
  • le chêne en bon terrain
  • le noyer noir
  • l’acajou local

Il rejette le sapin de Douglas, qu’il juge inadapte pour l’éducation de la main et du regard.

Pour lui, apprendre la sculpture, c’est aussi apprendre le pays, la nature, la matière vivante.


6. La persévérance : vertu essentielle de l’artiste

Médard écrit :

« La persévérance est la mère des grands bâtisseurs de pays. »

Cette phrase résume sa conception de l’éducation artistique.

Un artiste ne progresse pas par don, mais par discipline.

Apprendre à sculpter, selon Médard, demande :

  • répétition
  • endurance
  • patience
  • humilité
  • engagement quotidien

Ce n’est pas l’imitation qui forme l’artiste, mais le travail.


7. Un rôle pour la jeunesse : bâtir l’avenir de la sculpture

Dans ses passages sur Le Bâtisseur, Médard s’adresse directement aux jeunes :

« Ce sont les jeunes qui doivent bâtir. Pas les vieux. […] Jeunes, bâtissez, soyez persévérants. »

L’éducation artistique n’est pas pour lui une accumulation de savoir-faire : c’est une responsabilité culturelle.

Il croit profondément que :

  • l’avenir de la sculpture doit rester au Québec
  • les jeunes doivent s’approprier les matériaux d’ici
  • la beauté doit guider la création
  • la transmission doit être continue

Conclusion : l’héritage pédagogique de Médard Bourgault

Le journal de Médard Bourgault propose une éducation artistique enracinée, exigeante et lumineuse.

Elle repose sur :

  • la formation du regard
  • le rejet de la laideur gratuite
  • l’étude de la figure humaine
  • la maîtrise des bois du Québec
  • la recherche du beau
  • la persévérance
  • la transmission aux jeunes

Une philosophie simple, rigoureuse, profondément québécoise — et encore valable aujourd’hui pour tous ceux qui veulent sculpter, créer et bâtir.

Jack Raphael

 
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from Patrimoine Médard bourgault

Le Journal de Médard Bourgault est une source unique pour comprendre sa pensée, sa technique et sa vision de la sculpture au Québec. On y trouve ses conseils aux jeunes artistes, ses préférences pour les bois du pays, sa philosophie du beau et sa réflexion sur l’avenir de la sculpture traditionnelle. Ce texte rassemble ces idées de façon fidèle, en s’appuyant uniquement sur des passages réels de son journal.


1. Les bois du Québec selon Médard Bourgault

Médard s’oppose directement à l’idée que les bois du Québec seraient de mauvaise qualité pour la sculpture. Il rapporte qu’un homme lui affirmait que le froid rendait le bois impropre, causant des gerçures et des engelures. Sa réponse est nette :

« Nos bois peuvent être employés en sculpture, pourvu que l’on sache choisir. »

Pour lui, les essences locales égalent les plus réputées :

« Ils se prêtent aussi bien à la sculpture que les exotiques des chauds pays, tels noyer noir, acajou et autre. »

Le merisier rouge : son bois préféré

Médard place une essence au-dessus de toutes les autres :

« Notre merisier rouge pour moi est de beaucoup préférable à l’acajou des Philippines. »

Le merisier rouge est pour lui :

  • solide
  • stable
  • noble
  • parfaitement adapté aux visages et aux œuvres fines

Pourquoi nos bois sont sous-estimés ?

Médard identifie clairement la cause :

« Si nos bois ne sont pas beaux, c’est parce qu’ils sont de chez nous. »

Il ne critique pas le matériau : il critique le préjugé culturel.

Les bois qu’il déconseille

Il dénonce l’usage massif de sapins importés, notamment le Douglas, qu’il juge trop ordinaire pour la sculpture artistique.


2. Comment sculpter selon Médard : beauté, respect et précision

À plusieurs moments de son journal, Médard insiste sur la responsabilité du sculpteur. Il critique “les laides figures” de certains artistes modernes, surtout quand il s’agit de sujets religieux :

« Je conseillerais à tous nos artistes de ne pas s’inspirer, de grâce, à toutes ces laides figures qui sont d’art moderne. »

Son principe central : ne jamais sacrifier la beauté

À propos du Christ, il écrit :

« Nous devons nous efforcer de faire de notre œuvre ce qu’il y a de plus beau. »

Les traces de ciseaux : oui, mais avec finesse

Il permet une certaine rusticité, mais pas au détriment de l’expression :

« Tout en laissant paraître la sculpture dans toute sa sévérité, que l’on puisse donner de fort beaux traits à nos figures. »

Contre les sculptures “taillées au carré”

Il dit clairement :

« Point nécessaire de tailler tout au carré pour que ça paraisse sculpté. […] À mon idée ils sont dans l’erreur. »

Pour lui :

  • la sculpture doit rester lisible
  • la dignité du visage est essentielle
  • l’expression prime sur l’effet décoratif

3. Les conseils de Médard aux jeunes artistes

Lorsqu’il écrit :

« Je conseillerais à tous nos artistes… »

il formule en réalité une pédagogie complète.

Voici ses quatre grands conseils :

1. Ne pas imiter les figures laides

Il refuse toute exagération qui dénature le sacré.

2. Rechercher la beauté

Pour Médard, la beauté n’est jamais naïve : c’est un devoir.

3. Étudier la nature et la figure humaine

Il observe longuement :

  • épaules
  • regard
  • muscles
  • posture
  • dignité

4. Être persévérant

Il associe la sculpture au travail acharné :

« La persévérance est la mère des grands bâtisseurs de pays. »


4. L’avenir de la sculpture selon Médard Bourgault

Médard exprime ce qu’il souhaiterait pour le Québec.

A. Le retour du beau dans les paroisses

Il déplore que plusieurs églises aient perdu leurs statues significatives :

« Pourquoi pas ce saint patron dans nos églises de chaque paroisse ? »

B. Redonner une place aux artistes

Pour lui, les sculpteurs doivent retrouver un rôle dans la vie spirituelle et culturelle du Québec.

C. Encourager les jeunes

Dans son texte sur Le Bâtisseur, il écrit :

« Ce sont les jeunes qui doivent bâtir. Pas les vieux. […] Jeunes, bâtissez, soyez persévérants. »

D. Développer une sculpture locale

Il rejette la dépendance aux matériaux importés : la sculpture québécoise doit vivre avec les ressources du Québec.


5. Sa philosophie : beauté, vérité, dignité

Médard revient constamment à ces trois valeurs :

La beauté

Il a appris tôt à distinguer le beau du laid :

« J’appris à différencier le beau du laid. »

La vérité

Les visages doivent exprimer la vérité du sujet, pas un style à la mode.

La dignité

Chaque figure sacrée doit être représentée avec respect.

Pour lui, sculpter est :

  • un acte spirituel
  • un acte de transmission
  • un travail de discipline
  • un engagement envers le beau

Conclusion : la leçon de Médard pour les sculpteurs d’aujourd’hui

À travers son journal, Médard Bourgault lègue :

  • l’amour des bois du Québec
  • la recherche de la beauté
  • la fidélité aux modèles nobles
  • le respect du sacré
  • l’importance de la persévérance
  • le rôle des jeunes artistes dans l’avenir de la sculpture

Sa pensée reste actuelle : faire des œuvres belles, dignes, enracinées dans le pays.


 
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from Build stuff; Break stuff; Have fun!

Day 3 of #AdventOfProgress

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61 of #100DaysToOffload
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_Thoughts?

 
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from Patrimoine Médard bourgault

Quels bois Médard Bourgault préférait-il pour sculpter ? Merisier rouge, chêne, noyer, acajou canadien : voici son guide complet, basé sur son propre journal.


Introduction

Dans son Journal, Médard Bourgault ne parle pas seulement d’art et de foi : il donne aussi des conseils concrets sur le choix du bois, répond aux préjugés de son époque et affirme avec force la valeur des essences québécoises.

Ce guide rassemble — de façon claire et fidèle — tout ce que Médard a écrit sur les bois locaux, leur qualité et leur utilisation en sculpture.


1. Mythes sur les bois québécois : ce que Médard réfute

Un de ses contemporains lui avait affirmé que les bois du Québec ne convenaient pas à la sculpture à cause :

  • des engelures,
  • des gerçures,
  • du froid,
  • des “défauts de pays nordique”.

Médard répond sans aucune hésitation :

« Nos bois peuvent être employés en sculpture, pourvu que l’on sache choisir. »

Pour lui, la critique n’est pas basée sur la réalité mais sur un préjugé culturel :

« Si nos bois ne sont pas beaux, c’est parce qu’ils sont de chez nous. »

C’est un passage fondamental : Médard défend la richesse du pays et renverse la logique importation = qualité.


2. Les bois québécois “aussi bons que les exotiques”

Médard affirme que les bois du Québec valent ceux des régions chaudes, même pour les sculptures les plus fines :

« Ils se prêtent aussi bien à la sculpture que les exotiques des chauds pays, tels noyer noir, acajou et autre. »

Il place donc les essences d’ici sur un pied d’égalité avec :

  • l’acajou tropical,
  • le noyer noir,
  • les bois reconnus traditionnellement dans le mobilier haut de gamme.

Pour lui, la préférence pour les bois importés est un snobisme, pas un argument technique.


3. Le merisier rouge : le bois que Médard préfère

Une phrase très claire révèle sa préférence absolue :

« Notre merisier rouge pour moi est de beaucoup préférable à l’acajou des Philippines. »

Le merisier rouge est donc :

Son bois favori pour :

  • les sculptures fines,
  • les visages,
  • les panneaux décoratifs,
  • les meubles sculptés.

Pourquoi ?

Médard ne détaille pas les raisons, mais son avis laisse entendre :

  • grain fin,
  • dureté modérée,
  • stabilité,
  • beauté naturelle.

Et surtout : c’est un bois du pays — ce qui compte énormément pour lui.


4. Le chêne du Québec : un bois solide “si le terrain est bon”

À propos du chêne, il écrit :

« À commencer par notre chêne s’il croît dans du bon terrain. »

Pour Médard, le chêne du Québec devient excellent si :

  • l’arbre a poussé dans des conditions favorables,
  • le tronc est sain,
  • le bois n’a pas été stressé par un sol pauvre.

👉 Le chêne est un bon choix pour :

  • les grandes pièces,
  • les sculptures extérieures,
  • les œuvres structurellement exigeantes.

5. Le noyer et l’acajou “d’ici”

Médard classe les bois québécois au même niveau que ces essences haut de gamme :

  • noyer noir
  • acajou canadien

Ce sont des bois qu’il connaît bien et apprécie :

  • bonne tenue,
  • grain noble,
  • sculpture fine possible.

Il ne dit pas qu’ils surpassent les exotiques, mais qu’ils les égalent — ce qui est déjà énorme.


6. Les bois qu’il déconseille : le sapin importé (Douglas / BCF)

Passage important :

« Nous avons délaissé presque partout nos beaux bois précieux […] pour les remplacer par de vilains et laids B.C.F. ou sapin de Douglas de la Colombie. »

Pour lui :

  • ces bois sont trop mous,
  • trop instables,
  • trop ordinaires pour la sculpture artistique.

Le sapin importé est bon pour des coffrages, pas pour des œuvres d’art.


7. Sa logique générale : “sculpter le pays dans le bois du pays”

Tout son raisonnement mène à une conclusion simple :

Les bois du Québec doivent être la base de la sculpture du Québec.

Il écrit qu’on trouve dans la province tous les matériaux nécessaires, y compris pour les artisans :

« Pourquoi ne trouverions-nous pas les nôtres ? »

Il y a ici un message profond :

  • utiliser les bois locaux,
  • valoriser la forêt québécoise,
  • développer une esthétique enracinée,
  • refuser le dénigrement culturel envers nos essences.

Conclusion : la leçon de Médard pour les sculpteurs d’aujourd’hui

À travers son journal, Médard transmet une vision claire :

  • Le Québec possède de très bons bois pour la sculpture.
  • Le merisier rouge est un bois exceptionnel.
  • Le chêne est excellent s’il vient d’un bon terrain.
  • Les bois locaux égalent les exotiques.
  • Il faut éviter les bois bon marché importés.
  • Un sculpteur qui veut “bâtir” doit utiliser les matériaux de sa terre.

Pour Médard Bourgault, choisir un bois, ce n’est pas seulement une question technique : c’est un geste d’identité, de fierté, de culture.

Jack Raphael

 
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from POTUSRoaster

Hello and Happy Wednesday.

POTUS pardoned Juan Hernandez, who was convicted of flooding our country with cocaine and sentenced to more than 40 years in prison, just days after he was sent to prison. It's amazing what money can get from POTUS.

In spite of the fact that people have died from the drugs Hernandez pushed into the country and the millions of dollars he made from the illegal trade, POTUS doesn't care. He has freed Hernandez after thousands of donations in his name have been given to POTUS's political party. Just another example of money meaning more to POTUS than any American life. POTUS is going to make money no matter what it costs this nation.

While he is in office POTUS cannot be charged with any crime thanks to the Supreme Court and his sycophants. Congress doesn't have the will to remove him from office either. The American People need him gone so he stops selling out the government.

POTUS Roaster

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from hustin.art

#NSFW

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In Connection With This Post: Akiho Yoshizawa .01 https://hustin.art/akiho-yoshizawa-01

In the early 2000s, the AV industry was still dominated by the “cute and innocent girl” idol-like image that had prevailed throughout the 1990s. There were few leading actresses with elegant, urban, and mature beauty. Akiho Yoshizawa’s uniqueness was a product of that era. …



 
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