from POTUSRoaster

POTUS has decided that any speech about him which he doesn’t like is retaliation which he believes is hate speech. Really??? I always thought that Americans enjoyed a First Amendment to the pesky Constitution which guaranteed free speech. Now POTUS believes that anything said about him which he doesn’t like should be a reason to sue. You know what that sounds like? “WAAAAAAAAA Donnie not happy.” He sounds like a child that didn’t get his way.

OK, are you the person that voted for this guy? I guess you know that was a mistake. This nation needs more than a kindergartener in the Oval Office. We need a POTUS who doesn’t throw a hissy fit when someone exercises their rights.

This country has enemies who want to seriously hurt us and we need a president that is willing to defend us 24/7. The oath which a president takes before taking office requires that he swear to “Preserve, Protect and Defend” the Constitution, not use it to punish those that don’t like him. I think we might need someone who understands the duties of the office, this guy doesn’t.

I hope you are having a great day. If you like these posts, please tell you friends. I write them for you. POTUSRoaster

 
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from Irrational Verse

Opinion is a word which when I say it out loud, leaves my mouth mostly open and full of air.

I peel back its layers of O's, I's, and N's only to find that despite its substantial appearance,. there's nothing in there — a tough shell shielding puffs of air.

Unlike a homeopathic pill,
the more I dilute mine the healthier I get.

I can pick one up at a market near me, but beware they don't come with a label —

neither the humble ones nor the personal truths, nor those sold in cardboard boxes commonly used to store facts.


#poetry #poem

 
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from ROMAIN LECLAIRE

Je n’aime généralement pas exprimer un avis politique sur mon blog, mais là, impossible de me taire. Car un couperet est tombé, brutal et sans appel.

Ce mercredi, Jimmy Kimmel, célèbre présentateur TV américain, est devenu la dernière victime de la guerre déclarée par Donald Trump contre tout ce qui ressemble de près ou de loin à une voix discordante. Sa chaîne, ABC, a annoncé la suspension indéfinie de son émission de fin de soirée. Si vous cherchez frénétiquement la blague immonde, le dérapage inexcusable qui aurait pu justifier une telle sanction, ne vous fatiguez pas. Il n'y en a pas.

Le crime de lèse-majesté ? Un monologue d'une minute, diffusé le lundi 15 septembre. Le contexte est tragique, le meurtre de Charlie Kirk, figure de la droite conservatrice. Kimmel, comme à son habitude, commente l'actualité et la récupération politique qui s'ensuit. Il lance:

« Nous avons atteint de nouveaux abîmes ce week-end, avec le gang MAGA tentant désespérément de dépeindre ce gamin qui a assassiné Charlie Kirk comme n'importe quoi d'autre qu'un des leurs ».

Puis, il enchaîne sur la réaction du président Trump lui-même, soulignant l'étrange manière dont il gère son deuil. Après qu'un journaliste lui a présenté ses condoléances, ce dernier pivote sans transition:

« Je pense que ça va très bien. Et d'ailleurs, juste là, vous voyez tous les camions ? Ils viennent de commencer la construction de la nouvelle salle de bal de la Maison Blanche... ».

La chute de Kimmel est aussi simple que percutante:

« Oui, il en est à la quatrième étape du deuil, la construction. [...] C'est ainsi qu'un enfant de quatre ans pleure son poisson rouge ».

Voilà le péché originel. Une blague. Une simple et banale observation sur le narcissisme pathologique d'un homme incapable de maintenir son attention sur une tragédie plus de dix secondes. Mais pour la meute MAGA, c'est un prétexte en or. Ils tordent ses propos, prétendant que le présentateur vedette a qualifié le meurtrier de partisan de Trump. Peu importe que ce ne soit pas ce qu'il a dit. La vérité n'a aucune importance dans le tribunal de l'inquisition trumpiste. L'objectif était fixé depuis longtemps.

Car cette annulation n'est une surprise que pour ceux qui ne prêtent pas attention aux diatribes obsessionnelles du président américain sur son réseau Truth Social. En juillet, après l'annonce de la fin de l'émission de Stephen Colbert sur CBS, il jubilait déjà, prophétisant:

« J'entends dire que Jimmy Kimmel est le prochain ».

Mercredi, il célébrait sa victoire:

« Excellente nouvelle pour l'Amérique: le Jimmy Kimmel Show est ANNULÉ. Félicitations à ABC pour avoir enfin eu le courage de faire ce qui devait être fait ».

Le message est parfaitement clair. La comédie est autorisée, mais seulement si elle est à la botte du pouvoir.

Ce qui rend cette affaire particulièrement sinistre, c'est l'implication directe de l'appareil d'État. Le point de bascule fut l'intervention de Brendan Carr, le président de la Commission Fédérale des Communications (FCC) nommé par Trump, sur une émission en ligne d'un influenceur MAGA. Avec un sérieux de procureur stalinien, Carr a qualifié les propos de Kimmel de « conduite des plus abjectes » et, surtout, a agité la menace de sanctions.

Son langage, à peine voilé, était celui d'un mafieux:

« On peut faire ça à la manière douce ou ces entreprises peuvent trouver des moyens de changer de conduite... de prendre des mesures, franchement, contre Kimmel, ou il y aura du travail supplémentaire pour la FCC ».

La menace est bien là. Les stations de télévision locales affiliées à ABC, qui dépendent de la FCC pour leurs licences de diffusion, ont intérêt à faire pression sur le réseau pour faire taire le comédien. Sinon...

La capitulation a été immédiate et totale. Sinclair et Nexstar, deux géants possédant des centaines de stations locales (Nexstar étant d'ailleurs en attente d'une validation de la FCC pour un rachat à 6,2 milliards de dollars), ont annoncé qu'ils ne diffuseraient plus Jimmy Kimmel. Quelques heures plus tard, Disney, la maison mère d'ABC, pliait l'échine. La peur des représailles réglementaires, la crainte de voir des contrats juteux (comme celui de la NFL pour ESPN) menacés par un pouvoir vindicatif, a eu raison de toute velléité de défendre la liberté d'expression.

Le plus pervers dans cette histoire est la manière dont les médias complices ont couvert l'affaire. Sur des chaînes comme CNBC, on débattait du “dérapage” de l’intéressé pendant de longues minutes sans jamais diffuser l'extrait en question. Le spectateur moyen américain est ainsi laissé à son imagination, persuadé que le comédien a dû prononcer une horreur innommable, justifiant ainsi la censure.

BREAKING: Jimmy Kimmel CANCELED For Comments About Charlie Kirk's Assassin

Ne nous y trompons pas. Ceci n'est pas une banale querelle entre un président et un humoriste. C'est une démonstration de force, un avertissement glaçant envoyé à quiconque oserait encore se moquer du roi. L'administration Trump utilise les leviers de l'État pour faire taire ses détracteurs, transformant une agence de régulation en police de la pensée. Ils ont commencé avec les journalistes, purgé les scientifiques, et s'attaquent maintenant aux comédiens.

La droite américaine, qui hurle à la « cancel culture » dès qu'un de ses polémistes est critiqué sur les réseaux sociaux, applaudit aujourd'hui des deux mains une censure orchestrée par le gouvernement. Leur hypocrisie est assourdissante. Ce n'est pas la culture de l'annulation, c'est la culture de la soumission.

L'Américain moyen pourrait penser que le sort d'un animateur de talk-show millionnaire ne le concerne pas. Grave erreur. Un pouvoir qui peut faire taire un humoriste célèbre pour une blague inoffensive est un pouvoir qui peut faire taire n'importe qui. La liste des cibles ne fera que s'allonger. Hier, c'était Jimmy Kimmel. Demain, ce sera qui ? Quiconque refusera de marcher au pas. Le silence assourdissant qui a remplacé le rire sur la chaîne ABC est peut-être le son le plus terrifiant de l'Amérique de 2025.

 
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from ThinkingPills

Imagen creada con IA

UN TESORO ANTIGUO

Si algo agradezco a la vida es haberte tenido siempre cerca, en lo bueno y en lo malo. Son ya muchos años, y me conoces bien. Sabes que no soy de escribir cartas. Pero en este momento, creo que me expresaré mejor por este medio.

Siempre fuiste un poco orgulloso, ya te lo he dicho muchas veces. Ese orgullo ha jugado a tu favor cuando se trataba de no dejarte pisar por nadie, en esas empresas tuyas tan competitivas. Aunque a veces te haya cerrado puertas que merecías haber abierto. Una carrera espectacular.

Juan, tú eres mi mejor amigo, y por eso sé que te duele. Si te han despedido, no es porque te falte capacidad. Sé que tras esa cara de “aquí no pasa nada” hay vergüenza, orgullo herido, y hasta un rastro de rabia. A nuestra edad, esto no es una cosa más.

—¡Mamá, mira lo que he encontrado de papá!

Ella se acerca, toma la carta y empieza a leer en voz alta, casi recitando, con la hija a su lado.

Esa rabia puede ser un motor si la encauzas, o plomo si dejas que te gobierne. Creo que ahora toca pelear distinto: ordenar lo que sabes, pedir ayuda donde antes no lo hiciste, aceptar que el mundo ha cambiado y que eso exige otras formas de vender lo que vales. Nada fácil, seguro, aunque muy posible. Pero solamente si digieres esos sentimientos que sé que te abaten.

Espero que comprendas la razón por la que escribo esta carta, y que no es otra que evitarte el trago de sincerarte ahora. Si estoy equivocado, solo tienes que quemar este papel. Que sepas que estaré siempre contigo para lo que necesites.

Tras pronunciar las últimas palabras, la habitación se convierte en una sombría cueva. Baja el papel y lo mira con la misma incredulidad con que miraría una foto antigua: palabras de la mano de él con esa caligrafía tan familiar.

—Tenemos que comentarlo con Juan —dijo la hija al fin—.

Ella tardó en responder. Sabía que hacerlo sería abrir otra herida, pero también que callar sería como una traición.

Al poco, quedaron con él una tarde, en su casa. Juan les abrió la puerta con los ojos cansados de un largo día de trabajo. Se saludaron con abrazos breves, y pronto ella sacó la carta del bolso.

—Es de papá —dijo la hija, como si fuera una reliquia—. Era para ti. La encontramos entre sus cosas.

Miró a ambas, imaginando lo que había en aquel sobre viejo, sacando su contenido con cuidado. Guardó silencio mientras lo desplegaba con dedos temblorosos.

Juan respiró hondo. Se levantó, fue hasta un cajón del aparador y sacó un sobre idéntico, con un sello de los de antes. Lo dejó sobre la mesa al lado del que acaban de darle. —Lo sé —dijo con calma—. Esa carta ya la recibí. Nunca quise enseñarla. Fue un tesoro que me sacó de un pozo oscuro.  Nadie más que tu padre se habría atrevido a decirme esto. Descanse en paz.

Alcobendas, septiembre de 2025

 
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from Küstenkladde

“Mir wird klar, dass es lange her ist, seit ich zuletzt eine Möwe hier im Hof gesehen habe, wo man doch früher kaum etwas essen konnte, ohne von einem ganzen Schwarm umringt zu werden. Ohne ihre lautstarken Kämpfe um die Essensreste ist es viel stiller hier.”

Das ist zum Glück nicht die Gegenwart, sondern eine befürchtete Zukunft in #Zugvögel.

Denn hier ist das Gegenteil der Fall. Heute war das Wetter über Mittag plötzlich angenehm, so dass ich beschloss, es doch nochmal zu wagen. 16 Grad Wassertemperatur ist im Juni meine Grenze, bei der ich hier in das Ostseeschwimmen einsteige. Bislang ging es im September nicht über den 08. September hinaus. Aber noch sind es laut App 16 Grad.

Als ich zum Steg kam, war das Meer belegt. Allüberall schwammen Möwen auf der Oberfläche, so dicht an dicht, dass ich wirklich dachte, da kann ich jetzt nicht rein.

Ein Kölner Paar, das über die Steilküste von Timmendorf herüber gewandert war, saß dort und wir plauderten eine Weile, dann machten sich zwei weitere Verrückte bereit fürs Ostseebad. Die Frau wies auf die Vielfalt der Fische hin, die unter der kristallklaren Oberfläche zu sehen waren.

Wir stiegen ein. Die Möwen wichen erstaunt auseinander.

Huh, war das kalt! Eisbaden. Zum ersten Mal wurden die Hände nicht warm. Aber für den Großteil des Körpers war es angenehm.

Als ich wieder auf dem Steg gelandet war, fragten Spaziergänger: “Draußen ist es aber sicher ganz schön kalt.” Und nein, dem war nicht so. Es war wunderbar angenehm.

Wen das Thema interessiert, hier ist, was die AOK über Eisbaden schreibt.

Alltagsphilosophie.

Kürzlich habe ich einen Film gesehen: Trapps Sommer. Er handelt von einem alten Philosophieprofessor und einer jungen Frau, die ihn im Alltag unterstützt. Der Professor wird von Günther Maria Halmer gespielt, die junge Frau, Sophie, von Senita Huskic. Sophie ist eine muntere Person und in den Dialogen mit Trapp kommt es zu viel Situationskomik aber auch nachdenklichen Passagen. 

Dabei spielt das Thema Philosophie immer wieder eine Rolle und Sophie entwickelt ihre ganz eigenen Überzeugungen:

“Ist das nicht gut, dass wir nie wissen, was passiert und das Leben uns immer wieder überrascht?”

Trapp gefällt das.

Dazu passend las ich einen Text über ein Gespräch zwischen zwei älteren Wissenschaftlern über eine ihrer Töchter, die sich im Klimaschutz engagiert. Im Unterschied zu den Theoretikern, zu denen sie sich zählen und auch der alte Trapp im Film gehört, sei im Alltag der Tochter die individuelle Praxis des eigenen Handelns maßgebend. 

Stimmen Theorie und Praxis überein? Passt meine Haltung zu meinem Lebensstil? Solche Fragen stellen sie sich.

„Wie ist der ganz alltägliche Umgang mit anderen Menschen, Pflanzen, Tieren und Dingen?“ (Hanns-Josef Ortheil: Von nahen Dingen und Menschen)

Während sich die beiden die Begriffe zuwerfen: Mit welchen Verkehrsmittel sollen wir reisen? Ökologische Städteplanung, lokal einkaufen, kurze Handelsketten achten, wenig Unnützes konsumieren ..

denke ich darüber nach, dass mir beim Klimaschutz in der politischen Kommunikation das Soziale zu kurz kommt. Es wird noch nicht deutlich genug, dass Ökologie eine soziale Dimension hat. Oder umgekehrt, dass die Investition in ökologische Zusammenhänge gesunde Lebensumstände bewirkt. 

Zum Abschluss ein wenig Lichterzauber, dessen Musik gerade bis hier hin klingt.

 
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from Telmina's notes

案の定、シルバーウイーク後半も潰されることになりそうです。

 当然ながら憲法第十八条違反ですし、一般的な労働者であれば労基に訴えるべき事案です。

 どうも、連日連夜長時間残業や休日出勤が常態化すると、人間の感覚はおかしくなるようで、自分のために生きるという概念そのものが薄れゆくのを感じてしまいます。

 無趣味で人生の目的を見いだせていない人にとってはそれでもいいかもしれませんが、やりたいことややらなければならないことを少しでも持つと、それらが奴隷労働と相反するだけに、自分が如何に人生を無駄に過ごしているのかをこれでもかと痛感させられます。文字通りの意味で痛いです。そして、一生掛かっても自分の1年分の苦労も背負わずに済む連中に対する呪詛の言葉のひとつやふたつは頭に浮かんできます。

 自分の意思に反してデスマーチに参加させられていることに対して、誰も救済の手を伸ばしてくれません。自己責任と言い放つ馬鹿もいると思いますが、その手の愚民どもには一ヶ月ぐらい休み無しで強制労働をさせて、己の薄っぺらな考えが如何に危険なのかを身を以て知らしめる必要があります。本当に、昨今、他人の痛みを想像することすらできない愚民が多すぎます。己が痛い目に遭わないと他人の苦しみなんてわからないのでしょうかね。

 時々、「世間の風は冷たい」だの「社会は厳しい」だの言い放つ者もいますが、自分の視界に入ってきた、過去にその手の言葉を使ってきた連中の多くは、通常では到達できないような特権的な地位から他者を見下しています。むしろお前らの存在が社会を厳しくしているのではないか? 個人的には特に、自分が20代後半の時に上司だった男と、自分がアキバ文化を嫌う理由のひとつにもなっているメイド喫茶業界の特定の人物に対し、それをひしひしと感じます。

 デスマーチなんて起こらないような社会を目指す必要があるのですが、残念ながらこの国の庶民(まさにデスマーチさせられる側の人間)の大半がそれに興味を示さないどころか、他人を踏みにじる行為に積極的に加担していることを考えると、私は生まれてくる国を完全に間違ったと思います。そもそも青春時代を今で言うネトウヨ(ネット右翼)に囲まれて暗く過ごしていたことからしても、自分は「いわゆる普通の日本人」に対してはもはや何も期待できません。善人が特別天然記念物級に貴重な存在だとねぇ…。

 あと2週間足らずでデスマーチから足を洗えるはずなのですが、それまで生きているかどうかも怪しいです…。

best quality, realistic, RAW photo, side view, extreme wide shot, many tall ((Japanese)) large breasts wide-hipped short bobbed haired intelligent beautiful girls are forming lines and marching at burning ruins.

This image is created by Stable Diffusion web UI.

#2025年 #2025年9月 #2025年9月19日 #ひとりごと #雑談 #愚痴 #仕事 #体調不良 #連休 #シルバーウイーク

 
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from ROMAIN LECLAIRE

C’est une nouvelle qui a le goût d'une mauvaise blague, une farce cynique jouée aux dépens de 450 millions de citoyens européens. Imaginez un instant que le nouveau directeur de la brigade anti-drogue soit un ancien baron de la drogue. Absurde, n'est-ce pas ? Eh bien, c'est précisément ce qui vient de se passer au cœur du système de protection des données de l'Union Européenne. L'information, rapportée par The Irish Times, est à la fois simple et scandaleuse: Niamh Sweeney, une ancienne lobbyiste de haut rang pour Meta (la maison mère de Facebook, Instagram et WhatsApp), vient d'être nommée commissaire à la commission de la protection des données (DPC) en Irlande.

Oui, vous avez bien lu. La femme dont le travail, pendant six longues années, a consisté à influencer les politiques publiques en faveur de Facebook et WhatsApp est désormais l'une des trois personnes chargées de réguler ces mêmes entreprises. Elle était directrice des politiques publiques européennes pour WhatsApp et cheffe des politiques publiques irlandaises pour Facebook. Son rôle était de défendre les intérêts de Mark Zuckerberg, de minimiser les contraintes réglementaires et de s'assurer que l'écosystème Meta puisse continuer à prospérer en exploitant nos données le plus librement possible. Aujourd'hui, elle passe de l'autre côté du miroir, rejoignant Des Hogan et Dale Sutherland au sommet de l'organisme qui est, sur le papier, le gendarme le plus puissant d'Europe contre les géants de la tech.

Pourquoi la DPC irlandaise est-elle si importante ? Parce que l'Irlande, avec sa fiscalité avantageuse et son atmosphère réglementaire notoirement “accueillante”, est le siège européen de la quasi-totalité des mastodontes de la Silicon Valley. De ce fait, la DPC est le principal régulateur pour Meta, Google, Apple, et consorts pour l'ensemble de l'UE. C'est elle qui est en première ligne pour appliquer le fameux Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD), ce bouclier que l'Europe a brandi pour protéger nos vies numériques. La nomination de Madame Sweeney un symptôme terrifiant d'un mal profond, la capture du régulateur par l'industrie qu'il est censé contrôler. C'est ce qu'on appelle, dans le jargon, le “pantouflage”, mais à ce niveau, il s'agit d'une véritable imposture institutionnelle.

Les déclarations officielles qui ont suivi cette annonce ne font qu'ajouter l'insulte à la blessure. Le ministre irlandais de la justice, Jim O’Callaghan, s'est dit ravi que trois commissaires dirigent désormais cet organe de régulation clé, dont les responsabilités continuent de croître. Quant à la DPC elle-même, elle a déclaré attendre avec impatience de travailler avec elle alors que la commission continue de défendre le droit fondamental de l'UE à la protection des données.

Quelle mascarade. “Défendre le droit fondamental” ? Parlons-en. La DPC irlandaise a une réputation désastreuse en la matière. Elle est célèbre non pas pour sa fermeté, mais pour sa lenteur, son indulgence et son incapacité chronique à faire plier les géants de la tech. Les chiffres sont accablants: sur les milliards d'euros d'amendes infligées aux entreprises technologiques pour violations du RGPD, elle n'a réussi à collecter qu'environ 0,6 %. Ce n'est pas une faute de frappe. Moins d'un pour cent. Des amendes qui font les gros titres, mais qui ne sont jamais réellement payées, laissant les infractions impunies et le droit européen bafoué.

News | Niamh Sweeney

Et qui est l'un des principaux contrevenants ? Meta, l'ancien employeur de notre nouvelle commissaire. L'entreprise a été condamnée à une amende de près de 300 millions de dollars suite à une fuite de données massive ayant affecté des millions de comptes Facebook. Elle a écopé de 100 millions supplémentaires pour avoir stocké des mots de passe en clair, une violation flagrante et élémentaire des principes du RGPD. Ce sont là les “anciens patrons” que Niamh Sweeney est désormais censée mettre au pas. On nous demande de croire à une soudaine et miraculeuse conversion, où la lobbyiste zélée se transformera en une régulatrice implacable.

L'espoir, nous dit-on, est qu'elle se montrera à la hauteur et affrontera ses anciennes amours. Mais l'espoir n'est pas une stratégie de gouvernance. C'est un aveu de faiblesse. Cette nomination envoie un message clair et dévastateur. Les portes entre l'industrie technologique et ses régulateurs ne sont pas seulement tournantes, elles sont grandes ouvertes. Elle dit aux citoyens que les règles sont flexibles pour ceux qui ont le pouvoir et les connexions. Elle sape la crédibilité de l'ensemble du projet réglementaire européen, faisant du RGPD une coquille de plus en plus vide.

La question n'est pas de savoir si Niamh Sweeney sera personnellement capable de faire abstraction de son passé. Elle est de comprendre comment une telle situation, un conflit d'intérêts aussi flagrant, a pu être jugée acceptable. C'est une insulte à l'intelligence des citoyens et un doigt d'honneur à l'idée même d'une régulation indépendante. Le loup est officiellement dans la bergerie et on nous demande de nous sentir en sécurité.

 
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from POTUSRoaster

Hello again. I hope you are having fun.

POTUS, with the help of the US Senate majority leader, John Thune of South Dakota, has decided to change the rules of that distinguished body by permitting a single up or down vote on groups of POTUS nominees for federal positions. So, if there is one really good nominee in the group and dozens of really bad ones. the Senate must vote on the whole bloc at once. No picking and choosing!

Part of the job of the Senate is to “advise and consent” on the people that POTUS has picked for federal positions. Since the beginning of the Republic the Senate has done this one candidate at a time. POTUS has lots of positions to fill, and in order to get some really bad actors into those roles, he has asked that the traditions of the Senate be modified.

Traditions are the rules which both sides have agreed on. This agreement allows for majority rule with minority rights. The problem with the changes that John Thune is proposing is that it does not take into account the distinct possibility that his party may not be in the majority in the Senate after 2026 and people he doesn't like will be put into positions he would object to, or worse yet, not be filled. Many public positions are required to be filled in order to make the government run efficiently.

Let me give you an example. If 'Organization A' is supposed to be run by 'Director A' and 'Deputy Director A', and those positions are not filled by the Senate, then 'Organization A' won't get anything done when documents require a signature from 'Director A' or 'Deputy Director A'. There is no appointee there to do the job.

So, to ensure that all the organizations are running, John Thune has decided to lump the baddies in with the good ones. Many of the baddies are simply sycophants who want to be paid for bowing to the demand of POTUS. Is that what we really want? Well, ready or not, here come the clowns.

If you like these posts, please tell your friends. I write them just for you. Be happy and have fun.

POTUSRoaster

 
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from POTUSRoaster

Hello There. I hope you are well and having fun.

POTUS has applauded the removal of Jimmy Kimmel from late night TV. He had his Chair of the FCC threaten Kimmel's network with loss of its license just because Kimmel made comments on his show that POTUS didn't like. The comments, whether true or not, were contrary to what POTUS wanted people to see and had the network threatened. Now Kimmel is not a newsman but, he did comment on current events and made people laugh. It's probably that second part that POTUS doesn't like.

This looks and feels very much like what a guy named Hitler did in the 1930's. In order to ensure control of his message to the exclusion of all others, The Little Corporal gagged any media he could not control. POTUS is doing the same thing.

Unfortunately POTUS never served in the military because of “bone spurs”. Yeah that's the reason that was arranged for him never going anywhere near Vietnam. Even back then ““bone spurs” could be taken care of with a tiny bit of surgery. POTUS wasn't having any of that because he was never willing to fight for his country. Seems like he still isn't.

If you like these posts, please tell your friends and neighbors. I write them for you all.

POTUSRoaster

 
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from Dzudzuana/Satsurblia/Iranic Pride

Mutation 2.0

Wenn Armenier und Georgier, mit Kurden Hand in Hand, beschließen, Kinder zu machen, entsteht ein neues Land.

Die Gene tanzen, wild vermischt, Caucasus trifft auf Zagros, und siehe da, am Morgen früh, das Baby trägt ein neues Los.

Die Wissenschaft reibt sich die Augen, die Statistik lacht sich krumm: „Georgian Jew detected!“ – so macht die DNA es nun.

Doch wenn ein Norweger sich verliebt und mit Kurden ein Kind kreiert, dann ruft der Algorithmus laut: „Deliorman Türke generiert!“

 
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from ROMAIN LECLAIRE

Dans l’univers du gaming sur PC, où chaque milliseconde et chaque mégaoctet de mémoire comptent, les évolutions technologiques sont aussi inévitables que les mises à jour de nos jeux préférés. C'est dans ce contexte de progrès constant que Valve, le géant derrière la plateforme Steam, vient de faire une annonce qui, bien que touchant une infime partie des joueurs, marque symboliquement la fin d'une époque. Notez bien cette date dans vos agendas, à partir du 1er janvier 2026, le client Steam cessera de fonctionner sur les versions 32-bit du système d'exploitation Windows.

Cette nouvelle, discrètement publiée dans une note de support, signifie que dans un peu moins d'un an, il sera impossible d'installer ou de lancer l'application Steam sur un ordinateur équipé d'une version 32-bit de Windows. Pour la grande majorité d’entre nous, ce changement passera inaperçu. En effet, les versions 64-bit de Windows 10 et Windows 11, qui constituent l'écrasante majorité du parc informatique des joueurs, resteront pleinement supportées. Par contre, pour les quelques irréductibles ou les machines les plus anciennes encore bloquées dans l'architecture 32-bit, le compte à rebours a commencé.

Pourquoi une telle décision maintenant ? La justification de Valve est purement technique et tournée vers l'avenir. Dans sa communication, l'entreprise explique que les futures versions de Steam nécessiteront des fonctionnalités qui ne sont disponibles que sur les versions 64-bit de Windows. Elle précise que les plus essentielles dépendent de pilotes système et d'autres bibliothèques qui ne sont plus supportés sur les versions 32-bit. En d'autres termes, pour continuer à innover, à améliorer la sécurité et à intégrer de nouvelles technologies, Steam doit s'affranchir des limitations inhérentes à une architecture vieille de plusieurs décennies. Le 32-bit, notamment, est célèbre pour sa limitation à 4 Go de mémoire vive adressable, une quantité aujourd'hui jugée insuffisante pour de nombreuses applications modernes et, bien sûr, pour les jeux gourmands.

La décision de Valve est une tendance de fond de l'industrie. Microsoft lui-même s'apprête à mettre fin au support de Windows 10 en octobre 2025, poussant naturellement les utilisateurs vers Windows 11, un système d'exploitation exclusivement 64-bit. En abandonnant le 32-bit, Valve ne fait qu'aligner sa feuille de route sur celle de l'écosystème logiciel et matériel global.

Steam Deck UI comes to Desktop in Beta to replace Big Picture Mode ...

Faut-il pour autant craindre une hécatombe dans sa bibliothèque de jeux ? Absolument pas, et c'est une nuance capitale. La fin du support concerne le client Steam, c'est-à-dire l'application que vous lancez pour accéder à votre boutique et à votre bibliothèque. Elle ne concerne pas les jeux eux-mêmes. Vous pourrez toujours jouer à vos titres 32-bit préférés, à condition de le faire depuis un système d'exploitation 64-bit. Les OS modernes comme Windows 10 et 11 sous cette architecture disposent de couches de compatibilité (connues sous le nom de WoW64, ou Windows on Windows 64-bit) qui permettent d'exécuter des applications 32-bit de manière transparente. Votre collection de jeux indépendants et de classiques rétro est donc en sécurité.

L'ironie de cette situation, qui amusera les plus technophiles, est que la version actuelle du client Steam est elle-même une application 32-bit, et ce, même lorsqu'elle est installée sur un système 64-bit. Ce choix historique visait à garantir une compatibilité maximale avec le plus grand nombre de machines possible. Valve prévient cependant que ceci est sur le point de changer. Les futures mises à jour transformeront le client en une application nativement 64-bit, lui permettant de mieux exploiter les ressources des systèmes modernes. C'est ce passage en natif qui rend la rupture avec les anciens OS inévitable.

Pour mesurer l'impact réel de cette annonce, il suffit de se pencher sur les chiffres. Selon la dernière enquête sur le matériel et les logiciels de Steam (Steam Hardware Survey), la part des joueurs tournant encore sous une version 32-bit de Windows est minuscule. Valve avance le chiffre de 0,01 % pour les utilisateurs de Windows 10 32-bit. C'est une fraction si infime qu'on peut considérer cette transition comme un simple nettoyage technique, une formalité pour clore un chapitre de l'histoire de l'informatique.

 
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from Dan Kaufman

My Ongoing Battle with My Phone (and How I’m Trying to Win Back Some Peace)

Okay, let’s be honest: I use my phone a lot. Like… a lot. The first thing I do when I wake up is check it. Social media, emails, texts—I want to feel connected, like someone out there might be trying to reach me.

But if I’m being real, I can also feel it draining me. I’ll open Instagram with some purpose in mind, and ten minutes later I’m watching a reel of someone making pancakes in Japan and thinking, “Wait, what was I here for again?” At dinner, I sometimes catch myself paying more attention to my buzzing phone than the actual human being sitting across from me. Not my best look.

So I’ve been experimenting with a few changes. They aren’t life-changing hacks, but they’ve made a real difference. Maybe they’ll help you too.

Don’t Sleep with Your Phone

This was a game-changer. I used to sleep with my phone on my nightstand, and it was the last thing I looked at before bed and the first thing I grabbed in the morning. Not great. Now my charger lives in the living room. If you’re worried about waking up on time—good news, alarm clocks still exist, and they cost about twenty bucks.

No late-night scrolling, no blue light messing with melatonin, no buzz of notifications at 2 a.m. Instead, I read before bed. A book might not be as flashy as TikTok, but it helps me wind down. And if the book is boring? Even better—instant sleep aid.

Tame the Notifications

Here’s the thing: not every vibration in your pocket is an “emergency.” A like on your avocado toast photo is not urgent news. What I’ve done is set up my phone so that close friends and family can always reach me, but social media and borderline work stuff don’t get through unless I want them to.

On iPhone, it’s Settings > Focus. On Android, it’s Settings > Digital Wellbeing. You can make modes for Work, Personal, Sleep, or Do Not Disturb. The best part? Once it’s set, it runs on autopilot.

Take Mini Breaks Without It

This one’s harder for me, but it feels good every time I manage it. I’ll leave the phone behind for a jog, a short errand, or even just a walk around the block. Once in a while, I even go to the bathroom without my phone. (Yes, it’s possible.)

When I do this, it feels like my brain resets a little bit. Like I actually gave myself a moment of quiet.

Phone-Free Lunches and Meetings

Next time you’re at lunch with someone, try leaving your phone in your bag or pocket. If it’s sitting on the table, studies say people assume you’re only half-paying attention. I’ve noticed the difference: conversations feel more natural, and people notice when you’re truly present.

Don’t Rush to Respond

I used to think answering instantly made me look “on top of it.” Now I’ve realized most things don’t need a reply within 30 seconds. In fact, letting something breathe for 30–60 minutes often helps me respond better. And let’s be honest, sometimes it even makes you seem a little more important—like you’re busy doing high-impact things (or just living your life).

Finding Balance

I’m not about to pretend I’m cured. I still use my phone a lot, probably more than I should. But I’ve started to see it differently: these apps are designed to eat up as much of my time and attention as possible, and if I don’t set boundaries, they’ll win every time.

So I’m trying to reclaim some balance—one phone-free walk, one ignored notification, one book-before-bed at a time.

If you’ve been feeling the same pull, maybe one of these little shifts will help. At the very least, try it once: leave your phone behind for a bathroom break. Trust me, it’s survivable.

 
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from Lastige Gevallen in de Rede

Een stukje met een baard

Mocht u mij kennen, in uiterlijk verschijnen dan, dan zal het u opvallen dat ik vaak getooid ben met baard, een grote grijze massa aan wilde uitgroei des haren op kin en onder de neus en bij de oren en nek al mag dat fluffy spul daar geen baard heten. Baard heeft zeker, vast en gezekerd een definitie waarin nek haren niet in voor komen, met de nek aangekeken door de betere schare aan haren op het voorfront. Deze wildgroei kost heel veel energie zoveel dat ik er niet toe kan komen om het te snoeien. De energie daarvoor ontbreekt omdat ik anders niet genoeg over heb voor andere dingen zoals stofzuigen, de afwas, ramen lappen en dergelijke echt urgente zaken nodig om een huis echt te houden, zelfs al is die woning feitelijk van een ander maar deze lui hebben vaak ook een baard en dus geen energie over om voor mij de afwas te doen.

Ik heb om de middag door te komen, de middag is de periode van 12 tot half acht, drie boterhammen nodig daarmee zou ik het prima redden tot die tijd op de klok zelfs zonder vijftien slikkoekjes en zak vol pepernoten, echter ik eet meestal wel vijf boterhammen, die andere twee kaan ik niet weg uit vrije wil maar dat is de wil van de baard. Het moet groeien en ik moet er daarna mee omlopen, het overal mee naar toe nemen zodat het lijkt alsof ik een fan ben van fikse begroeïng om de mond. Dat is niet waar maar de baard zelf is sterker dan de toch zeer reine geest, tot op zekere lengte is dit meer dan normaal waar. Iedere periode van groei wordt gevolgd door die ene dag dat het gaat kriebelen en dat is het teken dat ik niet meer kan verdragen, dit wordt te erg, ik kan niet meer over me heen laten komen en op zo'n moment gaat het er allemaal af. Het werk wordt teniet gedaan, het woeste haar afgeworpen en weggespoeld door het douche putje of in de grijze container gedeponeerd.

Ik train de dag daarvoor een paar uur zeer intensief, zowel mentaal als fysiek, doe push ups, iq puzzels, rek en strek de stramme scheerapparaat spieren. Ik scheer nog ouwerwets met een apparaat met drie van die peperdure koppen er op, vlijmscherp maar daarvoor moet ik de stamoudsten wieden met een seizmisch apparaat, de mega tondeuse met ongekende krachten, een joekel van een machine die bijna net zoveel trilt als zo'n gemotoriseerde tegelstamper. Die lijf oefeningen zijn dus geen overbodige luxe. Na een half uur voorwerk kan ik dan mijn super de luxe Eindhovens beste hand maaimachine gebruiken voor het zetten van de puntjes op de ï. Mijn kin, voorkant nek, het neusje en de lippen zijn dan weer heel even naakt en een stuk langer zonder kriebel.

Baard is daarmee niet verdwenen, het begint al meteen weer aan de volgende lading nieuw haar, het moet en zal opgaan in de baard der volkeren, wederkeren, het mag niet ondergaan en moet boven komen, heus niet alleen in dit Needrige landje. Overal op aarde lopen mannen met baarden, ze heten niet alleen Jan ook Juan, of Piet ook Petrus, niet enkel Joris ook Joseph of Korneel nee ook Kobus en vele andere deelnemer namen ons gekregen. De baard is totaal niet trend gevoelig, is er in alle eeuwen, staat op de alleroudste rotstekening, ergens in Zuid Amerika waarop een Alien met een scheermes in de weer is. Allemachtig oud spul, haar is weerbarstig en vreet massa's energie, ook al snoei je het perk elke dag het zet gewoon weer op. In bepaalde stromingen van landbeheer is het hebben van kinhaar een ondraaglijke last, ze willen het niet zien, ze eisen dat men, de dienders van dit gedienstige, het woekeren niet toe laat. Iedere dag moeten ze het af snijden, hooguit mag er een klein beschermd, gecultiveerd haarpuntje onder de neus in navolging van de grote leider betreffende dit soort werkzaamheden maar meer ook niet. Zeker ook niet in deze regio der schone schijn waar de baard maar zelden wordt bewaard, het is een soort van teken van ontoelaatbare verwildering, natuur waar het niet hoort.

Maar zelfs al zie je dat haar niet het is onderhuids toch weer op weg naar de volgende voorstelling en vreet ongezien evenveel energie als mijn oerbos. In die eerder genoemde sector waar baarden enkel worden toegestaan mits ze netjes worden bijgehouden is het dan ook normaal om alles wat een ander je opdraagt meteen zonder geblaat te doen, want de energie om nee te zeggen tegen een man die ook maar iedere dag tegen zijn baard, snor, oor en schaamhaar vecht iserniet. Die gaat op aan het controleren van de innerlijke onderhuidse wildgroei en daarom doen ze zomaar zowat alles wat een andere vers geschoren nitwit ze opdraagt, zelfs dood gaan op verzoek van zo'n man die overal grenzen en het gevaar daaromheen ziet. Dit is natuurlijk slechts een perceptie van de huid en het onderhuidse, een schim waaraan al die nijverheden en krachten aan worden besteedt. Ik heb het nu niet meer over twee extra boterhammen maar hele runderfamilies, diersoorten, enorme regio's met graan en rijstvelden, fruithaarden zo groot als Europa aan extra voeding wordt opgeofferd om dit grote scheerapparaat der mensheid in leven te houden. Best veel, vind ik.

Maar goed zij kennen dat kriebel punt niet, ze vrezen dat het meest van al waarschijnlijk. Het punt waarop er iets kan worden gedaan of je kan het ook helemaal laten lopen, als ZZ Top in hun beste jaren. Op het podium struikelden deze mannen vaak over hun eigen baard maar ze stonden er wel als ze het haar iedere dag hadden geknipt waren ze daar nooit aan toe gekomen.

Ik moet bekennen dat er ook altijd super lui zijn mannen die met groot gemak hun natuur onder bedwang houden, de baard er onder houden en de vitaliteit behouden om nog toch tientallen andere dingen te doen en laten doen vaak, uren achter een computer zitten, een bureau gezelschap houden, de hendel van de draaistoel op gezette tijden overhalen, een stuur in handen houden en met de voeten een pedaal indrukken, een pasje langs een apparaat halen, en dat iedere dag ondanks de aanwezigheid van de oprukkende kwade baard machten. Ik heb daar veel meer dan een beetje respect voor. Dat is een energie niveau waar ik niet aan kan tippen, nooit zal bereiken. Ik ben al blij dat ik mijn tondeuse stevig genoeg vast kan houden zonder dat ik mijn neus er af snij of de oren, waar moet ik dan de snor of bakkebaarden laten. Maar goed na het lezen van dit stukje kent u de rede waarom ik mijn grijze baard zo vaak mee tors naar de diverse markten in den lande aanwezig.

 
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from Aproximaciones

Incomparable

En el árbol del sufrimiento se encuentra la fruta única de la sabiduría incomparable. Quien lo rechaza, inevitablemente muere sin hallarla.

Las moradas

Alumbra esta piel, este camino. No dejes que la sombra avance. Que el descenso ocurra. Llévame a las moradas majestuosas.

Mitad y mitad

Así, como fue. Miradas, sombras, luces. Mitad dolor, mitad gozo. Atrapados en el claro de luna, ausentes.

El alma

Yo no sabía que las almas pesaran tanto, aunque lo imaginaba. De joven, sospeché que a los mayores no les pesaba sólo el cuerpo. Y no sabía qué era el alma, hasta que sentí su peso.

Sombras

Las personas, por lo general, no suelen estar interesadas en las sombras. Ni siquiera por las suyas. La sombra de un pájaro, por ejemplo. O la de un burro. La que nos toque: sombra a ciegas.

Vienen

Vienen de alguna parte que seguramente no conozco. Aunque también dependen del aire, nos creemos distintos. En su tierra tendrán flores, sol y cielo. Y anhelan, como todos, la fruta del sueño.

Quiero

Me sorprendo, quiero. Y veo una ola tragada por otra, rompiendo en las arenas de la noche.

La noche

La noche dejó cristales fríos y una huella de moho en la pared. Hace frío y calor a ratos.

Las horas

Sin escribir, ni leer. Sentado atravieso las horas. Desaparecen, mientras las mariposas van al sur.

Yo sé

Yo sé lo que viene después del horizonte fatídico. Los animales despojados, ya fantasmas, aparecen en el muro de los sueños.

El signo de lo racional

Sí, no. Tienes que ir, corre. Aprende, resuelve. Alimenta controversias y a consciencia atrapa signos, anagramas. Devuelve, vuelve. Pasa.

 
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from ghoststudies

I often hear the Tree of Knowledge framed in Christianity as the necessary component to grant people free will. God placed the Tree of Knowledge in the Garden of Eden and commanded that it not be eaten from, because it will give you the knowledge of Good & Evil and you will die.

It was our choice to eat from it. Or not.

But really that is not about choice at all; it’s about obedience. I suspect Adam & Eve were already able to make some decisions on their own with some form of free will, otherwise they would just be biological Robots of God.

The Tree was placed there by God. To tempt them? Isn’t that the role of the devil in traditional thinking?

The “cunning” serpent (not explicitly the Devil) did lay on some extra tempting things, but the architect of the whole scenario is God. He placed the Tree smack in the middle of the garden and painted an allure upon it.

Why would God do that?

The Catholic, and most other Christian views, is that Adam & Eve eating from the Tree of Knowledge was the original sin of disobedience. They chose to serve themselves over obedience to God. And as such, they were punished by the Separation from God and Eden and handed over to death. Humanity is fallen.

Interestingly the Jewish faith, from which this story originates in the Talmud, interprets this differently: there was no original sin at all – this was Adam & Eve’s choice, and theirs alone. And the Tree of Knowledge imparts yetzer ha-ra (the inclination toward self-interest), which isn’t evil per se, but rather a step along the way of growing up. God places the Tree, gives the command, but doesn’t set a trap. The story is about choice, not about temptation. And the exile from the Garden is not punishment but rather the beginning of human responsibility, toil, and ethical discernment.

In the original text, from the original religion of Judaism, the Eden story is a coming-of-age story. We move from innocence to moral complexity, and God remains our guide.

For my part, I see the Tree as a necessary component of awakening which God placed to invite discernment; a ritual of inquiry, reflection and decision with all its consequences.

The story was intended for a fairly primitive people, just beginning to try and make sense of the world and their lives.

I suspect God didn’t place the Tree of Knowledge there to make us fall, but rather to help our consciousness rise.

If there is a God, of course. (I have no photos).

#religion #christianity

 
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from Dzudzuana/Satsurblia/Iranic Pride

Alikram Hummatov, fiery, proud, raised his banner, spoke out loud. Talysh valleys, rivers grand, he called them home, he named them land.

But power struck, the dream was banned, the newborn state slipped through his hand. They chained his voice in prison’s night, for daring claim his people’s right.

Behind the bars his spirit burned, to hills and Caspian waves it turned. Though walls were high, his dream still ran, a whisper strong: Talyshland.

 
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